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14.11.2018 09:38

Commémoration du centenaire de l'armistice 11 Novembre 1918

Les enfants des classes CE lisent les lettres des "poilus"

Les enfants des classes CE lisent les lettres des "poilus"

Une nombreuse assistance s'est émue à la lecture des lettres

Une nombreuse assistance s'est émue à la lecture des lettres

13 Novembre 2018

Dimanche dernier à 11 heures précises, les cloches de l’église Sainte Germaine de Varennes ont résonné durant plusieurs minutes tout comme cela s’était produit dans tous les villages et villes de France le 11 Novembre 1918 pour célébrer l'armistice qui venait d'être signé. Les administrés ont été nombreux à répondre par leur présence à l’invitation de la municipalité qui avait tenu à marquer le coup pour ce centenaire. Après la lettre du ministre lue par Monsieur le Maire, Alain Albinet, ceux sont 15 enfants volontaires des classes CE , encadrés par leur institutrice Hélène, sous le regard bienveillant de la directrice Marie-Agnes,  qui ont lu des lettres de « poilus », devant une assistance visiblement très émue. Après  l’énoncé par Monsieur le Maire des soldats varennois morts aux 2 guerres mondiales, une minute de silence a été respectée accompagnée de la sonnerie aux morts. La Marseillaise  a ensuite été interprétée à la trompette et au tambour par Didier Bênet et son collègue , et chantée par l’assistance. Merci à eux deux. La cérémonie devant le monument aux morts a été clôturée par la chanson symbolique de l’armistice , à savoir « La madelon de la victoire ». Mr Albinet a ensuite invité tout le monde à se rendre au cimetière pour se recueillir devant les tombes regroupées des soldats morts et rapatriés à Varennes, avant de se retrouver à la salle des fêtes où un apéritif dinatoire offert et préparé  par la municipalité, a été semble-t-il , très apprécié par tous les participants. La municipalité remercie tous ceux qui ont contribué à la réussite de cette manifestation car un centenaire, ce n’est pas rien, surtout celui là. La présence des enfants , tous volontaires, et ce n’est pas évident de parler au micro devant une assistance, était comme un trait d’union entre la génération qui a connu la première guerre mondiale et la génération présente, qu’ils en soient grandement remerciés ainsi que leur institutrice Hélène.